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Les smart villes : une nouvelle conception des villes au service des citoyens

Les smart villes : une nouvelle conception des villes au service des citoyens

Ikrame SELKANI

Etudiante Chercheur

selkani.ikrame@gmail.com

Introduction

Depuis la nuit des temps, les personnes migrent d’une zone à une autre en quête d’un avenir meilleur. Ces derniers ont toujours eu une préférence vis-à-vis des zones urbaines qui ; à leur yeux ; avait de meilleures opportunités pour un emploi stable et un niveau de vie à la hauteur.

Au fur et à mesure que cette vague qui s’est propagée un peu partout, des problèmes ont jaillît et se sont manifesté tel que les services en matière d’assainissement, de santé, d’éducation … A l’égard de la pression et l’engorgement énormes que ce flux de personnes a provoqué en matières de ressources limitées (énergie et eau), les résultats de ce phénomène a donc révélé plus d’inconvénients que d’avantages.

« The 19th century was a century of empires. The 20th century was a century of nation.  The 21st century was a century of cities”.[1]

Cette urbanisation rapide, a donc fait émerger plus de problèmes que prévus.  Afin de mettre fin à ce fléau et faire face à l’augmentation escomptée de la population urbaine, le concept des villes intelligente a été pensée et appliqué il y a une dizaine d’années.

Mais qu’est ce que la ville intelligente?  Quelles sont ses caractéristiques ?  Et quelles sont les villes mondiales qui ont opté pour une dimension « Smart City» ?

Environ la moitié de la population mondiale vit dans les villes, les populations urbaines ayant augmenté de quelques 750 millions d’habitants en 1950 à 3,6 milliards en 2011.  En 2030, environ 60% de la population mondiale vivra en zone urbaine.[2]

Face à ce fléau d’urbanisation rapide, des problèmes de différents types se sont manifestées « A cet effet, les décideurs, se sont vus obligés de repenser et redéfinir les modalités de construction d’infrastructures de l’offre de service, de la participation des citoyens afin de faire en sorte que les villes deviennent des lieux de vie plus durables et solides ». [3] (Guzman, 2011).

De nos jours, les métropoles se développent autour du transport et notamment de l’automobile. Cette organisation de la sorte s’est associée à l’augmentation du trafic automobile qui engendre la congestion des réseaux routiers. Part conséquent, la réalité économique, environnementale et sociale nécessitent de reposer la manière d’habiter et de se déplacer dans la ville de demain.

Par conséquent, le concept de Smart City ou de Ville Intelligente a émergé afin de traiter plusieurs problématiques qui empêchent le bon fonctionnement de la ville : environnement, investissement urbains, état social… Le concept de la Smart City considère la ville autrement, en repensant aux problèmes quotidiens qu’elle connait en leur apportant des éléments de réponse innovateurs et moderne en mettant en œuvre la technologie (NTIC).

Maintenant, les urbanistes conçoivent la ville tel qu’un réseau global où l’objectif s’articule en matière d’offrir aux habitants une meilleure qualité de vie en associant les innovations technologiques afin de renforcer l’efficacité de secteurs tels que les transports, l’énergie, la sécurité urbains et l’élimination des déchets.

Le groupe spécialisé de l’UIT-T sur le villes intelligentes et durables, a définit la Smart City- Ville Intelligente en tant qu’ « une ville novatrice qui utilise les technologies de l’information et la communication et d’autres moyens pour améliorer la qualité de la vie l’efficacité de la gestion urbaines et des services urbains ainsi que la compétitivité tant en respectant les besoins des générations actuelles et futures dans les domaines économiques, sociale et de l’environnement ».

En d’autres termes, la Ville Intelligente est une ville qui détient des citoyens et des décideurs actifs et responsables, et qui favorise l’intervention et la participation interactive des citoyens en faisant appel à la gouvernance participative.

Le concept des Smart City a vu le jour pour améliorer la vie quotidienne aux habitants et citoyens et surtout afin que les villes modernes attribuée d’intelligentes soient capables de mettre en ouvre des infrastructures communicantes et durables; (d’eau, électricité, gaz, transport, services d’urgence, services publics bâtiments etc.) ; pour améliorer le confort des citoyens en vue d’être plus efficace sans oublier de développer le respecter de l’environnement, cette concept encourage l’innovation dans les infrastructures de télécommunication pour interconnecter les personnes, les systèmes de transport et d’autres dispositifs intégrés. De plus, elle offre un accès à Internet dans toute la ville (Bell et al., 2009 ; Ford & Koutsky, 2005, page 34).

Une ville intelligente est celle qui s’inscrit aussi dans une perspective à long terme qui lui permet de répondre aux besoins des générations d’aujourd’hui sans compromettre leur capacité de répondre à ceux des générations de demain.

Grosso modo, quand nous abordons le concept de ville intelligente, nous parlons aussi d’un potentiel considérable et non négligeable de transformations de services urbains et de modes de gouvernance de la ville.

Le terme de Smart City a commencé à se concrétiser pour la première fois au début des années 2000. Avec le projet U-Korea. La ville de Sondgo a proposé un maillage de wifi total et de grande qualité, une présence de vidéo surveillance assez prépondérante, sans oublier les systèmes innovants de gestion de l’énergie.

En général, la Smart City ne se définit pas par ses solutions mais par les objectifs qu’elle cherche à atteindre. La propagation du concept n’a pas cessé de se développer, effectivement en 2005, l’utilisation du concept par le président Bill Clinton à travers sa fondation l’a rendu plus convenable : un plan de décongestion des villes de San Francisco, Séoul, et Amsterdam afin d’atteindre un équilibre environnementale : diminuer les émissions du CO2 et économiser pour les citoyens et les communautés locales du temps et de l’argent à la fois.

L’objectif de toutes les villes est d’assurer une dynamique continue en offrant un large panel de services tout en restant attractive pour fidéliser et attirer de nouveaux usagers. A ce niveau, un exemple pourrait illustrer la vraie raison de faire appel au concept des villes intelligente.

Pendant la fin des années 1990, le citoyen disposait d’un plan d’agglomération, une cartographie précise mais figée pour se déplacer. Pendant le début des années 2000, Internet a fait son immersion en largeur et en longueur auprès du grand public, et l’augmentation du débit a permit de consulter les plans en ligne de calculer l’itinéraire de l’imprimer et de l’emporter avec soi. Aujourd’hui et vu la rapidité de la technologie, nous ne sommes plus en  face du GPS qui se trouvait des années avant ; strictement réservées à l’automobile ; sinon, nous le retrouvons à quelques centimètres de nous, c’est-à-dire, dans les Smartphones qu’un grand nombre de personnes utilise facilement aujourd’hui, voire qui permet d’accéder à des services de guidages personnalisé.

Selon M. Sekhar Kondepudi, Professeur à l’Université Nationale de Singapour : « Les caractéristiques essentielles des villes intelligentes et durables sont les suivantes : la durabilité, la qualité de vie, et l’intelligence. La durabilité renvoi entre autres à la gouvernance, à la pollution et aux échanges climatiques. La qualité de vie concerne le bien être financier et psychologique, quant à L’intelligence elle est liée à l’ambition d’améliorer les conditions économiques sociales et environnementales. »

Généralement les villes, intelligentes et durables qui réussissent améliorent la qualité de vie de leurs habitants, offrent de meilleurs niveaux de vie, davantage de possibilités d’emploi, mettent tout en œuvre pour améliorer le bien-être de leurs habitants ; soins de santé, les conditions de vie, l’absence de danger matériel et l’enseignement…. Elles rationalisent des services, tels que la mobilité ou la gestion de l’eau, qui s’appuient sur une infrastructure matérielle, elles renforcent la prévention et la gestion des catastrophes, notamment la capacité de faire face aux effets des changements climatiques. Elles mettent en place des mécanismes efficaces et équilibrés en matière de réglementation et de gouvernance, assortis de politiques adaptées.

Les exemples des Smart City dans le monde

La Smart City est tout d’abord apparue dans une description caricaturale où le fantastique vient au secours du quotidien : prédictions des comportements urbains, consommations énergétiques optimisées, agriculture urbaine, le tout parsemé de voitures électriques survolant des citées flottantes dédiées aux activités de loisirs.[4]

Helsinki : la ville ouverte : Helsinki a fait le choix de l’Open Data et plus largement de l’open gouvernement. “Our dream is that every public agenda, every euro and any public issue could be easily analyzed, visualized, understood and contributed to by the citizens in advance.

Stockholm : la ville green et connectée : Stockholm a mis en oeuvre un projet d’aménagement numérique avec notamment le déploiement d’infrastructures hauts débits, la concentration d’entreprises du numérique dans un même quartier et l’interopérabilité des infrastructures. Elle met en avant le côté Green IT de ses développements qui visent à réduire les consommations énergétiques et la pollution.

Lyon : la ville agréable à vivre : La métropole de Lyon s’est progressivement positionnée comme chef de file en matière de projets smart cities. Elle allie développement économique et qualité de vie, ce qui lui garantit une attractivité significative et favorise le développement de projets intelligents à grande échelle.

Rio de Janeiro : la ville pilotée, supervisée, prédictive : Dans l’objectif de préparer la Coupe du Monde de 2014 et les Jeux Olympiques de 2016, la ville de Rio de Janeiro s’est dotée d’un centre de services qui supervise le réseau urbain via l’utilisation de caméras. 900 caméras aident à élaborer des modèles de prédictions et à prévenir les habitants en cas d’accidents naturels ou de difficultés de la circulation (via les sirènes et les réseaux sociaux).[5]

D’une façon générale, et vus les exemple cités ci-dessus, nous pouvons dire que les Smart City font appel fréquemment à huit éléments d’infrastructures : énergie renouvelables, industrie entreprises et services énergétiques, entreprises de la qualité de l’air, sécurité, personnel médical, établissement d’enseignement, fiabilité, évolutivité, sans oublier le facteurs d’accessibilité et de sécurité.

L´une des plus grandes priorités des conseils régionaux est : le citoyen. La ville dans ce cas, devrait répondre à l´ensemble des préoccupations de ses habitants dans les différents secteurs : emploi, santé, éducation, services sociaux… La ville intelligente est alors celle qui se reconstruit autour des besoins de ses habitants qui ne sont plus considérés comme des consommateurs des services mais comme des partenaires et des parties prenantes de son développement. Cette place nouvelle leur est accordée grâce à la démocratisation des moyens d’information permettant plus de participation. La ville intelligente se définit, donc, comme celle qui lie le développement urbain au développement humain.

La contribution des smart- villes au développement économique

Dans le développement d’une ville intelligente, il faut que ces solutions s’intègrent dans tous les grands projets d’aménagement et de développement économique et cela, tout autant de la part des gouvernements, des municipalités que des entreprises. L’adoption des TIC permettra d’économiser des coûts et d’apporter de nouvelles opportunités de croissance au secteur des télécommunications, mais également aux autres secteurs d’activités recourant au TIC

Bien que l’urbanisation soit reconnue comme un moteur de développement économique et social, elle s’accompagne de forts impacts environnementaux, aussi bien aux niveaux local que mondial, tels que l’assèchement des zones humides, l’extraction de matériaux de construction en grandes quantités, la pollution des eaux, la pollution atmosphérique, etc. Les villes sont ainsi à l’origine de 80% des émissions de gaz à effet de serre et représentent 75 % de la consommation mondiale d’énergie (The World Bank, 2010 – Cities and Climate Change: An Urgent Agenda[6])

«Nos villes ont des qualités culturelles et architecturales uniques. Elles possèdent des forces d’intégration sociale considérables et disposent d’options de développement économique extraordinaires. Elles sont à la fois des centres de connaissance et des sources de croissance et d’innovation. Dans nos villes se manifestent toutefois aussi des signes de déséquilibre social et d’exclusion ainsi que des problèmes d’ordre écologique.»[7]

L e concept de smart city (ville intelligente ou ville numérique durable) est une approche visant à renforcer, de façon optimale, les connexions entre les acteurs de la ville dont l’habitant fait désormais partie à part entière, en tirant partie des évolutions technologiques et des mutations sociétales. L’innovation réside avant tout dans l’adaptation visée des relations entre les usagers, leur ville et leurs outils, afin d’optimiser ce réseau et répondre aux nouveaux besoins économiques, sociaux et environnementaux. Dans un contexte de crise économique et énergétique sur fond de compétitivité des territoires, le concept de smart city propose un ensemble de pistes mettant en cohérence des outils émergents et permettant une efficacité économique renouvelée.[8]

Le développement économique d’une ville dépend considérablement de son processus de développement passé et est fortement influencé par ses antécédents de spécialisation économique et de développement institutionnel. Chaque ville européenne suit sa propre trajectoire de développement individuel. Ces trajectoires peuvent être plus ou moins sensibles aux influences et aux chocs externes, en fonction de la résilience et de la résistance des villes aux événements extérieurs, et sont également altérées par des interventions de politique publique Le fait que toutes les villes soient fortement tributaires des politiques et des modèles de développement économique nationaux est un défi en soi. Elles doivent donc faire preuve d’imagination dans l’élaboration des politiques publiques et de leurs instruments et doivent s’efforcer de concentrer leurs ressources là où elles peuvent être investies au mieux.

S’il ne faut surtout pas dissocier le développement économique et social de la polarisation croissante dans les villes, de nouveaux paradigmes de développement économique capables de saisir le fonctionnement de l’économie urbaine nationale sont nécessaires. Cette dernière ne dépendrait a priori pas exclusivement des secteurs orientés vers l’exportation, mais se fonderait dans une large mesure sur le développement des ressources endogènes.

Le modèle actuel de développement économique dans lequel la croissance économique ne s’accompagne pas d’une augmentation du nombre d’emplois pose la question, non seulement de la garantie d’une vie décente aux personnes qui se trouvent en dehors du marché du travail, mais aussi de comment les engager dans la société. Un nombre croissant de jeunes ont été élevés par des parents sans emploi. Ceux qui ont quitté l’école sans avoir de compétences adéquates ou qui ne trouvent pas un emploi à la fin de leur scolarité ont tendance à être attirés dans un cercle vicieux d’inactivité. À Rotterdam, sous l’effet de la crise économique, la municipalité a mis sur pied un programme spécifique permettant de traiter ce problème. L’idée de base est de «maintenir ces personnes occupées». La formation des jeunes se négocie avec les employeurs dans des secteurs où existent des offres d’emploi. Ceux qui ne peuvent se voir offrir ni du travail ou ni des possibilités de formation sont alors redirigés vers le travail communautaire

Les villes se sont à la fois livrées concurrence et entraidées tout au cours de leur histoire. L’expansion assez récente des villes au-delà de leur centre et leur connectivité accrue avec un territoire nettement plus large n’a pas seulement multiplié les possibilités d’échanges économiques (et socioculturels), mais a aussi intensifié la concurrence. Aujourd’hui, les villes sont en concurrence pour les investissements étrangers et nationaux, pour le capital humain, pour les échanges commerciaux, pour le tourisme, etc. Cette concurrence s’accompagne souvent de processus d’émulation qui sont productifs, mais elle risque aussi, dans certains cas, d’être préjudiciable au développement économique et à la cohésion territoriale et d’entraîner, par la même occasion, une utilisation sousoptimale des ressources. Il existe, par exemple, des limites à la demande en aéroports, en universités, en parcs d’affaires et grands stades sur un territoire donné.

Le développement des villes a été suivi par des processus intervenant en parallèle d’expansion autour des centres villes et de connectivité accrue avec un territoire beaucoup plus vaste englobant d’autres villes. Ceci a augmenté les possibilités non seulement d’échange économique, mais aussi de compétition renforcée entre les villes, d’une concurrence pour attirer des ressources humaines, des touristes, des investissements d’entreprises, etc. Cette concurrence peut, par moment, être destructive pour le développement économique et la cohésion territoriale, de même qu’elle peut conduire à une utilisation sous-optimale des ressources naturelles. La coopération sur des questions stratégiques telles que les services publics, les grands projets de développement, l’infrastructure du savoir et les nœuds de transports devient un enjeu essentiel pour garantir un développement urbain et territorial durable

 

 Conclusion

Les villes et les territoires sont devenus aujourd’hui de plus en plus engagés dans une compétition et une concurrence accrue et rude en termes d’attractivité d’investisseurs, d’entrepreneurs et d’habitants. C’est pour cette raison que pendant ces derniers temps, nous avons constaté l’émergence d’un nouveau type de marketing, appelé « marketing territorial ».

Les villes du futur et actuelles sont de plus en plus connectées. Les relèves de compteur électrique, de gaz et d’eau se font de plus en plus à distance et sans-fil. Les luminaires des villes deviennent intelligents et communiquent pour économiser l’énergie et offrir un éclairage adapté. Les engins de ramassage des ordures communiqueront bientôt avec les poubelles afin d’anticiper les tournées de ramassage et de mieux connaître le contenu des containers.

De plus, l’image de ces villes joue un rôle important pour leur développement et l’attrait des investisseurs, des professionnels des secteurs principaux et des travailleurs (Vanolo, 2013).

Une ville se définit par son territoire, sa géographie, son histoire, sa population, son devenir.

En somme, les villes intelligentes et durables s’inscrivent dans une perspective à long terme et prennent en considération de bien répondre aux besoins des générations d’aujourd’hui sans compromettre et risquer les besoins et les désirs des générations de demain.

Transports, eau, voirie, éclairages, déchets… Les domaines dans lesquels le numérique peut intervenir sont innombrables, au point de donner naissance à des Smart Cities, des villes s’appuyant sur les nouvelles technologies pour améliorer leurs services publics, lutter contre les gaspillages, ou encore réaliser des économies d’énergie. La ville du Havre fait figure de modèle. Rencontre avec son député-maire, Edouard Philippe.

Il faut également se positionner vis-à-vis des autres territoires en choisissant d’agir en tant que leader, ou en tant que suiveur dans le déploiement de services en tant qu’acteur -type smart- ou en suivant les -acteurs standards-. Enfin, il faudra également considérer les industriels et les startups qui sont une source d’inspiration essentielle et qui peuvent jouer un rôle moteur dans un projet de Smart City.

[1] Wellington E. Webb former Mayor of Denver.

[2] L’avenir que nous voulons. Les villes, Fact sheet Rio+20 Département de l’Info d l’ONU consultation sur http://www.un.org/fr/sustainablefuture/pdf/cities PDF le 12 novembre 2012, page 23

[3] Silvia Guzman, Présidente du groupe spécialisé de l’UIT sur les villes intelligentes et durables

[4] Duchemin S., Smart City, rendre la ville intelligente, SopraSteria Consulting, Point de vue, page 6

[5] Idem

[6] The World Bank, 2010 – Cities and Climate Change: An Urgent Agenda, page 56

[7] Charte de Leipzig sur la ville européenne durable (adoptée à l’occasion de la réunion informelle des ministres sur le développement urbain et la cohésion territoriale à Leipzig les 24-25 mai 2007), page 67

[8] Qu´en savons- nous ?, LA VILLE CONNECTÉE LA « SMART CITY » RELIE SES ACTEURS ENTRE EUX, Aucame, Nº62, Avril 2014,  page 1

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